Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670708.html
RM2KCJBYG–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670720.html
RM2KCJC00–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670728.html
RM2KCJC08–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants contre l'avortement devant le Congrès argentin de Buenos Aires, Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-contre-l-avortement-devant-le-congres-argentin-de-buenos-aires-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489390765.html
RM2KC5JWH–Les manifestants contre l'avortement devant le Congrès argentin de Buenos Aires, Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-pro-avortement-sont-arrives-a-onze-heures-du-matin-pour-suivre-le-debat-depuis-des-ecrans-geants-dans-un-climat-d-applaudissements-de-chants-et-d-emotions-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-de-federico-rotter-nu-image489390771.html
RM2KC5JWR–Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu
Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-pro-avortement-sont-arrives-a-onze-heures-du-matin-pour-suivre-le-debat-depuis-des-ecrans-geants-dans-un-climat-d-applaudissements-de-chants-et-d-emotions-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-de-federico-rotter-nu-image489390797.html
RM2KC5JXN–Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu
Incidents, entre la police et les sympathisants, à l'entrée de feu Maradona à la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/incidents-entre-la-police-et-les-sympathisants-a-l-entree-de-feu-maradona-a-la-maison-du-gouvernement-a-buenos-aires-en-argentine-sur-26-novembre-2020-diego-armando-maradona-superstar-du-football-argentin-est-decede-a-l-age-de-60-ans-suite-a-un-arret-cardio-respiratoire-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489371347.html
RM2KC4P43–Incidents, entre la police et les sympathisants, à l'entrée de feu Maradona à la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Tristesse et désolation des partisans argentins lorsqu'ils sont partis pour dire Au revoir aux défis de Mararadona dans la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/tristesse-et-desolation-des-partisans-argentins-lorsqu-ils-sont-partis-pour-dire-au-revoir-aux-defis-de-mararadona-dans-la-maison-du-gouvernement-a-buenos-aires-argentine-sur-26-novembre-2020-diego-armando-maradona-superstar-du-football-argentin-est-decede-a-l-age-de-60-ans-suite-a-un-arret-cardio-respiratoire-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489371349.html
RM2KC4P45–Tristesse et désolation des partisans argentins lorsqu'ils sont partis pour dire Au revoir aux défis de Mararadona dans la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le président de l'Argentine et ses ministres observent les incidents qui se sont produits depuis le balcon de la Casa Rosa, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-president-de-l-argentine-et-ses-ministres-observent-les-incidents-qui-se-sont-produits-depuis-le-balcon-de-la-casa-rosa-a-buenos-aires-en-argentine-sur-26-novembre-2020-diego-armando-maradona-superstar-du-football-argentin-est-decede-a-l-age-de-60-ans-suite-a-un-arret-cardio-respiratoire-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489371325.html
RM2KC4P39–Le président de l'Argentine et ses ministres observent les incidents qui se sont produits depuis le balcon de la Casa Rosa, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Des centaines de personnes se sont rassemblées dans les environs du Stade de football Argentinos Juniors dans le quartier de Buenos Aires de la paternel à Buenos Aires, sur 25 novembre 2020, une équipe dans laquelle Maradona a fait ses premiers pas en tant que joueur professionnel de football. Avec des drapeaux, des fleurs et des affiches, les voisins et les fans se sont rassemblés, en larmes, pour dire adieu au champion de la coupe du monde 1986. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/des-centaines-de-personnes-se-sont-rassemblees-dans-les-environs-du-stade-de-football-argentinos-juniors-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-la-paternel-a-buenos-aires-sur-25-novembre-2020-une-equipe-dans-laquelle-maradona-a-fait-ses-premiers-pas-en-tant-que-joueur-professionnel-de-football-avec-des-drapeaux-des-fleurs-et-des-affiches-les-voisins-et-les-fans-se-sont-rassembles-en-larmes-pour-dire-adieu-au-champion-de-la-coupe-du-monde-1986-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489369934.html
RM2KC4M9J–Des centaines de personnes se sont rassemblées dans les environs du Stade de football Argentinos Juniors dans le quartier de Buenos Aires de la paternel à Buenos Aires, sur 25 novembre 2020, une équipe dans laquelle Maradona a fait ses premiers pas en tant que joueur professionnel de football. Avec des drapeaux, des fleurs et des affiches, les voisins et les fans se sont rassemblés, en larmes, pour dire adieu au champion de la coupe du monde 1986. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Des centaines de personnes se sont rassemblées dans les environs du Stade de football Argentinos Juniors dans le quartier de Buenos Aires de la paternel à Buenos Aires, sur 25 novembre 2020, une équipe dans laquelle Maradona a fait ses premiers pas en tant que joueur professionnel de football. Avec des drapeaux, des fleurs et des affiches, les voisins et les fans se sont rassemblés, en larmes, pour dire adieu au champion de la coupe du monde 1986. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/des-centaines-de-personnes-se-sont-rassemblees-dans-les-environs-du-stade-de-football-argentinos-juniors-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-la-paternel-a-buenos-aires-sur-25-novembre-2020-une-equipe-dans-laquelle-maradona-a-fait-ses-premiers-pas-en-tant-que-joueur-professionnel-de-football-avec-des-drapeaux-des-fleurs-et-des-affiches-les-voisins-et-les-fans-se-sont-rassembles-en-larmes-pour-dire-adieu-au-champion-de-la-coupe-du-monde-1986-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489369922.html
RM2KC4M96–Des centaines de personnes se sont rassemblées dans les environs du Stade de football Argentinos Juniors dans le quartier de Buenos Aires de la paternel à Buenos Aires, sur 25 novembre 2020, une équipe dans laquelle Maradona a fait ses premiers pas en tant que joueur professionnel de football. Avec des drapeaux, des fleurs et des affiches, les voisins et les fans se sont rassemblés, en larmes, pour dire adieu au champion de la coupe du monde 1986. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les femmes participent à une manifestation en faveur du projet de loi sur l'interruption volontaire de la grossesse, à Buenos Aires, en Argentine, sur le 19 novembre 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-femmes-participent-a-une-manifestation-en-faveur-du-projet-de-loi-sur-l-interruption-volontaire-de-la-grossesse-a-buenos-aires-en-argentine-sur-le-19-novembre-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489360560.html
RM2KC48AT–Les femmes participent à une manifestation en faveur du projet de loi sur l'interruption volontaire de la grossesse, à Buenos Aires, en Argentine, sur le 19 novembre 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
L'ancien président bolivien Evo Morales parle lors d'une conférence de presse alors qu'il exprime sa gratitude au gouvernement et à la population argentins pour l'avoir reçu en exil politique à l'hôtel Quagliaro sur 7 novembre 2020 à Buenos Aires, en Argentine. Morales a annoncé qu'il commencera à se rendre à la Quiaca, Jujuy, où il traversera la frontière Argentine-Bolivie sur 11 novembre. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/l-ancien-president-bolivien-evo-morales-parle-lors-d-une-conference-de-presse-alors-qu-il-exprime-sa-gratitude-au-gouvernement-et-a-la-population-argentins-pour-l-avoir-recu-en-exil-politique-a-l-hotel-quagliaro-sur-7-novembre-2020-a-buenos-aires-en-argentine-morales-a-annonce-qu-il-commencera-a-se-rendre-a-la-quiaca-jujuy-ou-il-traversera-la-frontiere-argentine-bolivie-sur-11-novembre-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489345762.html
RM2KC3HEA–L'ancien président bolivien Evo Morales parle lors d'une conférence de presse alors qu'il exprime sa gratitude au gouvernement et à la population argentins pour l'avoir reçu en exil politique à l'hôtel Quagliaro sur 7 novembre 2020 à Buenos Aires, en Argentine. Morales a annoncé qu'il commencera à se rendre à la Quiaca, Jujuy, où il traversera la frontière Argentine-Bolivie sur 11 novembre. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/plus-de-90-hectares-ont-ete-occupes-par-des-maisons-improvisees-sur-des-terres-privees-a-guernica-province-de-buenos-aires-en-argentine-sur-10-septembre-2020-pendant-un-mois-en-raison-des-besoins-extremes-de-la-crise-du-logement-de-la-faim-du-desespoir-du-chomage-et-des-covid-les-familles-ont-abandonne-ou-non-developpe-des-terres-pour-vivre-de-maniere-precaire-la-situation-a-ete-en-cours-jusqu-a-ce-que-2-500-familles-s-installent-dans-une-superficie-de-100-ha-de-terres-qui-supposeraient-etre-pour-des-entreprises-privees-sur-9-septembre-la-justice-ordonna-l-expulsion-de-ce-territoire-qui-se-trouve-a-guernica-province-de-buenos-aires-bien-qu-a-ce-jour-un-fifu-de-paix-image489260769.html
RM2KBYN2W–Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix
Les familles avec enfants se sont installées sur des terres privées dans la province de Guernica, à Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui est à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour une solution pacifique et structurelle à Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-familles-avec-enfants-se-sont-installees-sur-des-terres-privees-dans-la-province-de-guernica-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-septembre-2020-pendant-un-mois-en-raison-des-besoins-extremes-de-la-crise-du-logement-de-la-faim-du-desespoir-du-chomage-et-des-covid-les-familles-ont-abandonne-ou-non-developpe-des-terres-pour-vivre-de-maniere-precaire-la-situation-a-ete-en-cours-jusqu-a-ce-que-2-500-familles-s-installent-dans-une-superficie-de-100-ha-de-terres-qui-supposeraient-etre-pour-des-entreprises-privees-sur-9-septembre-la-justice-ordonna-l-expulsion-de-ce-territoire-qui-est-a-guernica-province-de-buenos-aires-bien-qu-a-ce-jour-une-solution-pacifique-et-structurelle-a-image489260775.html
RM2KBYN33–Les familles avec enfants se sont installées sur des terres privées dans la province de Guernica, à Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui est à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour une solution pacifique et structurelle à
Les familles avec enfants se sont installées sur des terres privées dans la province de Guernica, à Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui est à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour une solution pacifique et structurelle à Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-familles-avec-enfants-se-sont-installees-sur-des-terres-privees-dans-la-province-de-guernica-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-septembre-2020-pendant-un-mois-en-raison-des-besoins-extremes-de-la-crise-du-logement-de-la-faim-du-desespoir-du-chomage-et-des-covid-les-familles-ont-abandonne-ou-non-developpe-des-terres-pour-vivre-de-maniere-precaire-la-situation-a-ete-en-cours-jusqu-a-ce-que-2-500-familles-s-installent-dans-une-superficie-de-100-ha-de-terres-qui-supposeraient-etre-pour-des-entreprises-privees-sur-9-septembre-la-justice-ordonna-l-expulsion-de-ce-territoire-qui-est-a-guernica-province-de-buenos-aires-bien-qu-a-ce-jour-une-solution-pacifique-et-structurelle-a-image489260762.html
RM2KBYN2J–Les familles avec enfants se sont installées sur des terres privées dans la province de Guernica, à Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui est à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour une solution pacifique et structurelle à
Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/plus-de-90-hectares-ont-ete-occupes-par-des-maisons-improvisees-sur-des-terres-privees-a-guernica-province-de-buenos-aires-en-argentine-sur-10-septembre-2020-pendant-un-mois-en-raison-des-besoins-extremes-de-la-crise-du-logement-de-la-faim-du-desespoir-du-chomage-et-des-covid-les-familles-ont-abandonne-ou-non-developpe-des-terres-pour-vivre-de-maniere-precaire-la-situation-a-ete-en-cours-jusqu-a-ce-que-2-500-familles-s-installent-dans-une-superficie-de-100-ha-de-terres-qui-supposeraient-etre-pour-des-entreprises-privees-sur-9-septembre-la-justice-ordonna-l-expulsion-de-ce-territoire-qui-se-trouve-a-guernica-province-de-buenos-aires-bien-qu-a-ce-jour-un-fifu-de-paix-image489260773.html
RM2KBYN31–Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix
Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/plus-de-90-hectares-ont-ete-occupes-par-des-maisons-improvisees-sur-des-terres-privees-a-guernica-province-de-buenos-aires-en-argentine-sur-10-septembre-2020-pendant-un-mois-en-raison-des-besoins-extremes-de-la-crise-du-logement-de-la-faim-du-desespoir-du-chomage-et-des-covid-les-familles-ont-abandonne-ou-non-developpe-des-terres-pour-vivre-de-maniere-precaire-la-situation-a-ete-en-cours-jusqu-a-ce-que-2-500-familles-s-installent-dans-une-superficie-de-100-ha-de-terres-qui-supposeraient-etre-pour-des-entreprises-privees-sur-9-septembre-la-justice-ordonna-l-expulsion-de-ce-territoire-qui-se-trouve-a-guernica-province-de-buenos-aires-bien-qu-a-ce-jour-un-fifu-de-paix-image489260753.html
RM2KBYN29–Plus de 90 hectares ont été occupés par des maisons improvisées sur des terres privées à Guernica, province de Buenos Aires, en Argentine, sur 10 septembre 2020. Pendant un mois en raison des besoins extrêmes, de la crise du logement, de la faim, du désespoir, du chômage et des covid, les familles ont abandonné ou non développé des terres pour vivre de manière précaire. La situation a été en cours jusqu'à ce que 2 500 familles s'installent dans une superficie de 100 ha. De terres qui supposeraient être pour des entreprises privées. Sur 9 septembre, la justice ordonna l'expulsion de ce territoire qui se trouve à Guernica, province de Buenos Aires, bien qu'à ce jour un fifu de paix
Malgré la restriction de la mobilité, beaucoup de gens sont allés travailler à la gare centrale de la Constitution, à Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/malgre-la-restriction-de-la-mobilite-beaucoup-de-gens-sont-alles-travailler-a-la-gare-centrale-de-la-constitution-a-buenos-aires-en-argentine-sur-1-juillet-2020-le-resserrement-de-l-isolement-social-preventif-et-obligatoire-regnera-au-moins-jusqu-a-17-juillet-dans-la-ville-de-buenos-aires-et-35-municipalites-de-la-grande-ville-de-buenos-aires-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489179360.html
RM2KBT17C–Malgré la restriction de la mobilité, beaucoup de gens sont allés travailler à la gare centrale de la Constitution, à Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le Gouvernement a renforcé les contrôles de sécurité aux entrées principales de la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-gouvernement-a-renforce-les-controles-de-securite-aux-entrees-principales-de-la-ville-de-buenos-aires-en-argentine-sur-1-juillet-2020-le-resserrement-de-l-isolement-social-preventif-et-obligatoire-regnera-au-moins-jusqu-a-17-juillet-dans-la-ville-de-buenos-aires-et-35-municipalites-de-la-grande-ville-de-buenos-aires-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489179351.html
RM2KBT173–Le Gouvernement a renforcé les contrôles de sécurité aux entrées principales de la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le Gouvernement a renforcé les contrôles de sécurité aux entrées principales de la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-gouvernement-a-renforce-les-controles-de-securite-aux-entrees-principales-de-la-ville-de-buenos-aires-en-argentine-sur-1-juillet-2020-le-resserrement-de-l-isolement-social-preventif-et-obligatoire-regnera-au-moins-jusqu-a-17-juillet-dans-la-ville-de-buenos-aires-et-35-municipalites-de-la-grande-ville-de-buenos-aires-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489179361.html
RM2KBT17D–Le Gouvernement a renforcé les contrôles de sécurité aux entrées principales de la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 1 juillet 2020. Le resserrement de l'isolement social préventif et obligatoire régnera au moins jusqu'à 17 juillet dans la ville de Buenos Aires et 35 municipalités de la grande ville de Buenos Aires. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Des gens participent à une manifestation à Buenos Aires, en Argentine, sur 2 juin 2020, lors d'une manifestation au sujet de la mort de George Floyd, qui est mort 25 mai après avoir été bridé par la police de Minneapolis. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/des-gens-participent-a-une-manifestation-a-buenos-aires-en-argentine-sur-2-juin-2020-lors-d-une-manifestation-au-sujet-de-la-mort-de-george-floyd-qui-est-mort-25-mai-apres-avoir-ete-bride-par-la-police-de-minneapolis-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489150501.html
RM2KBPMCN–Des gens participent à une manifestation à Buenos Aires, en Argentine, sur 2 juin 2020, lors d'une manifestation au sujet de la mort de George Floyd, qui est mort 25 mai après avoir été bridé par la police de Minneapolis. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les citoyens du bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020, reçoivent de la nourriture. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-citoyens-du-bidonville-1-11-14-quartier-de-ricciardelli-l-un-des-etablissements-les-plus-pauvres-de-buenos-aires-en-argentine-sur-26-mai-2020-recoivent-de-la-nourriture-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489142743.html
RM2KBPAFK–Les citoyens du bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020, reçoivent de la nourriture. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La police contrôle l'accès et le respect de la quarantaine dans le bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-police-controle-l-acces-et-le-respect-de-la-quarantaine-dans-le-bidonville-1-11-14-quartier-de-ricciardelli-l-un-des-etablissements-les-plus-pauvres-de-buenos-aires-en-argentine-sur-26-mai-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489142716.html
RM2KBPAEM–La police contrôle l'accès et le respect de la quarantaine dans le bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La police contrôle l'accès et le respect de la quarantaine dans le bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-police-controle-l-acces-et-le-respect-de-la-quarantaine-dans-le-bidonville-1-11-14-quartier-de-ricciardelli-l-un-des-etablissements-les-plus-pauvres-de-buenos-aires-en-argentine-sur-26-mai-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489142721.html
RM2KBPAEW–La police contrôle l'accès et le respect de la quarantaine dans le bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les forces armées distribuent de la nourriture aux citoyens du bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-forces-armees-distribuent-de-la-nourriture-aux-citoyens-du-bidonville-1-11-14-quartier-de-ricciardelli-l-un-des-etablissements-les-plus-pauvres-de-buenos-aires-en-argentine-sur-26-mai-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489142739.html
RM2KBPAFF–Les forces armées distribuent de la nourriture aux citoyens du bidonville 1-11-14 (quartier de Ricciardelli), l'un des établissements les plus pauvres de Buenos Aires, en Argentine, sur 26 mai 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Des volontaires d'organisations sociales ont collaboré pour distribuer de la nourriture aux résidents du bidonville connu sous le nom de 1.11.14, étant le deuxième quartier le plus touché dans la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 16 mai 2020. 30 pour cent du cas de coronavirus à Buenos Aires se trouvent dans les quartiers pauvres surpeuplés, où la distanciation sociale et l'isolement sont presque impossibles. Beaucoup n'ont rien à manger, certains n'ont même pas assez d'eau potable. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/des-volontaires-d-organisations-sociales-ont-collabore-pour-distribuer-de-la-nourriture-aux-residents-du-bidonville-connu-sous-le-nom-de-1-11-14-etant-le-deuxieme-quartier-le-plus-touche-dans-la-ville-de-buenos-aires-en-argentine-sur-16-mai-2020-30-pour-cent-du-cas-de-coronavirus-a-buenos-aires-se-trouvent-dans-les-quartiers-pauvres-surpeuples-ou-la-distanciation-sociale-et-l-isolement-sont-presque-impossibles-beaucoup-n-ont-rien-a-manger-certains-n-ont-meme-pas-assez-d-eau-potable-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489135134.html
RM2KBP0RX–Des volontaires d'organisations sociales ont collaboré pour distribuer de la nourriture aux résidents du bidonville connu sous le nom de 1.11.14, étant le deuxième quartier le plus touché dans la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 16 mai 2020. 30 pour cent du cas de coronavirus à Buenos Aires se trouvent dans les quartiers pauvres surpeuplés, où la distanciation sociale et l'isolement sont presque impossibles. Beaucoup n'ont rien à manger, certains n'ont même pas assez d'eau potable. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Un enfant résidant dans le bidonville connu sous le nom de 1.11.14, étant le deuxième quartier le plus touché dans la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 16 mai 2020. 30 pour cent du cas de coronavirus à Buenos Aires se trouvent dans les quartiers pauvres surpeuplés, où la distanciation sociale et l'isolement sont presque impossibles. Beaucoup n'ont rien à manger, certains n'ont même pas assez d'eau potable. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/un-enfant-residant-dans-le-bidonville-connu-sous-le-nom-de-1-11-14-etant-le-deuxieme-quartier-le-plus-touche-dans-la-ville-de-buenos-aires-en-argentine-sur-16-mai-2020-30-pour-cent-du-cas-de-coronavirus-a-buenos-aires-se-trouvent-dans-les-quartiers-pauvres-surpeuples-ou-la-distanciation-sociale-et-l-isolement-sont-presque-impossibles-beaucoup-n-ont-rien-a-manger-certains-n-ont-meme-pas-assez-d-eau-potable-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489135143.html
RM2KBP0T7–Un enfant résidant dans le bidonville connu sous le nom de 1.11.14, étant le deuxième quartier le plus touché dans la ville de Buenos Aires, en Argentine, sur 16 mai 2020. 30 pour cent du cas de coronavirus à Buenos Aires se trouvent dans les quartiers pauvres surpeuplés, où la distanciation sociale et l'isolement sont presque impossibles. Beaucoup n'ont rien à manger, certains n'ont même pas assez d'eau potable. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Travailleurs de la santé à Villa 31 à Buenos Aires, Argentine, on 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 cas. (Pho Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/travailleurs-de-la-sante-a-villa-31-a-buenos-aires-argentine-on-7-mai-2020-les-contagions-des-villas-de-buenos-aires-les-quartiers-les-plus-pauvres-de-la-ville-de-buenos-aires-ont-grimpe-en-fleche-ces-derniers-jours-selon-les-donnees-officielles-jusqu-a-cet-apres-midi-ils-etaient-223-l-escalade-des-cas-positifs-a-force-le-gouvernement-buenosairean-a-preparer-dans-les-dernieres-heures-une-partie-quotidienne-seulement-consacree-a-la-situation-des-villes-selon-les-donnees-de-cet-apres-midi-la-ville-a-confirme-223-cas-de-covid-19-dans-les-quartiers-vulnerables-de-la-ville-les-plus-touches-sont-barrio-31-avec-133-cas-pho-image489124453.html
RM2KBNF6D–Travailleurs de la santé à Villa 31 à Buenos Aires, Argentine, on 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 cas. (Pho
Un travailleur désinfecte les rues de Buenos Aires, en Argentine, sur 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 ca Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/un-travailleur-desinfecte-les-rues-de-buenos-aires-en-argentine-sur-7-mai-2020-les-contagions-des-villas-de-buenos-aires-les-quartiers-les-plus-pauvres-de-la-ville-de-buenos-aires-ont-grimpe-en-fleche-ces-derniers-jours-selon-les-donnees-officielles-jusqu-a-cet-apres-midi-ils-etaient-223-l-escalade-des-cas-positifs-a-force-le-gouvernement-buenosairean-a-preparer-dans-les-dernieres-heures-une-partie-quotidienne-seulement-consacree-a-la-situation-des-villes-selon-les-donnees-de-cet-apres-midi-la-ville-a-confirme-223-cas-de-covid-19-dans-les-quartiers-vulnerables-de-la-ville-les-plus-touches-sont-barrio-31-avec-133-ca-image489124458.html
RM2KBNF6J–Un travailleur désinfecte les rues de Buenos Aires, en Argentine, sur 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 ca
Travailleurs de la santé à Villa 31 à Buenos Aires, Argentine, on 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 cas. (Pho Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/travailleurs-de-la-sante-a-villa-31-a-buenos-aires-argentine-on-7-mai-2020-les-contagions-des-villas-de-buenos-aires-les-quartiers-les-plus-pauvres-de-la-ville-de-buenos-aires-ont-grimpe-en-fleche-ces-derniers-jours-selon-les-donnees-officielles-jusqu-a-cet-apres-midi-ils-etaient-223-l-escalade-des-cas-positifs-a-force-le-gouvernement-buenosairean-a-preparer-dans-les-dernieres-heures-une-partie-quotidienne-seulement-consacree-a-la-situation-des-villes-selon-les-donnees-de-cet-apres-midi-la-ville-a-confirme-223-cas-de-covid-19-dans-les-quartiers-vulnerables-de-la-ville-les-plus-touches-sont-barrio-31-avec-133-cas-pho-image489124452.html
RM2KBNF6C–Travailleurs de la santé à Villa 31 à Buenos Aires, Argentine, on 7 mai 2020. Les contagions des villas de Buenos Aires (les quartiers les plus pauvres de la ville de Buenos Aires) ont grimpé en flèche ces derniers jours. Selon les données officielles, jusqu'à cet après-midi ils étaient 223.l'escalade des cas positifs a forcé le gouvernement Buenosairean à préparer dans les dernières heures une partie quotidienne seulement consacrée à la situation des villes. Selon les données de cet après-midi, la ville a confirmé 223 cas de COVID-19 dans les quartiers vulnérables de la ville. Les plus touchés sont Barrio 31 avec 133 cas. (Pho
Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-controles-tests-ont-ete-effectues-par-le-personnel-de-sante-de-la-station-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-avril-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489116816.html
RM2KBN5DM–Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-controles-tests-ont-ete-effectues-par-le-personnel-de-sante-de-la-station-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-avril-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489116811.html
RM2KBN5DF–Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-controles-tests-ont-ete-effectues-par-le-personnel-de-sante-de-la-station-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-avril-2020-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489116819.html
RM2KBN5DR–Les contrôles (tests) ont été effectués par le personnel de santé de la station de Retiro à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 avril 2020. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les gens attendant à l'extérieur d'une pharmacie pour acheter des médicaments pendant le confinement imposé par le gouvernement contre la propagation du nouveau coronavirus, COVID-19, à Buenos Aires, Argentine, sur 21 avril, 2020. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-gens-attendant-a-l-exterieur-d-une-pharmacie-pour-acheter-des-medicaments-pendant-le-confinement-impose-par-le-gouvernement-contre-la-propagation-du-nouveau-coronavirus-covid-19-a-buenos-aires-argentine-sur-21-avril-2020-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489107529.html
RM2KBMNJ1–Les gens attendant à l'extérieur d'une pharmacie pour acheter des médicaments pendant le confinement imposé par le gouvernement contre la propagation du nouveau coronavirus, COVID-19, à Buenos Aires, Argentine, sur 21 avril, 2020. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les gens sont obligés de porter le collier de cow-hide dans l'espace public ou commun de la ville de Buenos Aires. Pendant le verrouillage imposé par le gouvernement contre la propagation du nouveau coronavirus, COVID-19, à Buenos Aires, en Argentine, sur 21 avril, 2020. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-gens-sont-obliges-de-porter-le-collier-de-cow-hide-dans-l-espace-public-ou-commun-de-la-ville-de-buenos-aires-pendant-le-verrouillage-impose-par-le-gouvernement-contre-la-propagation-du-nouveau-coronavirus-covid-19-a-buenos-aires-en-argentine-sur-21-avril-2020-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489107538.html
RM2KBMNJA–Les gens sont obligés de porter le collier de cow-hide dans l'espace public ou commun de la ville de Buenos Aires. Pendant le verrouillage imposé par le gouvernement contre la propagation du nouveau coronavirus, COVID-19, à Buenos Aires, en Argentine, sur 21 avril, 2020. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto)
L'armée Argentine distribue plus de 24 000 rations alimentaires à la Matanza, province de Buenos Aires, en Argentine, sur le 3 avril 2020, dans le cadre de la pandémie du coronavirus d'urgence, le COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/l-armee-argentine-distribue-plus-de-24-000-rations-alimentaires-a-la-matanza-province-de-buenos-aires-en-argentine-sur-le-3-avril-2020-dans-le-cadre-de-la-pandemie-du-coronavirus-d-urgence-le-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489090705.html
RM2KBM055–L'armée Argentine distribue plus de 24 000 rations alimentaires à la Matanza, province de Buenos Aires, en Argentine, sur le 3 avril 2020, dans le cadre de la pandémie du coronavirus d'urgence, le COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
L'armée Argentine distribue plus de 24 000 rations alimentaires à la Matanza, province de Buenos Aires, en Argentine, sur le 3 avril 2020, dans le cadre de la pandémie du coronavirus d'urgence, le COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/l-armee-argentine-distribue-plus-de-24-000-rations-alimentaires-a-la-matanza-province-de-buenos-aires-en-argentine-sur-le-3-avril-2020-dans-le-cadre-de-la-pandemie-du-coronavirus-d-urgence-le-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489090694.html
RM2KBM04P–L'armée Argentine distribue plus de 24 000 rations alimentaires à la Matanza, province de Buenos Aires, en Argentine, sur le 3 avril 2020, dans le cadre de la pandémie du coronavirus d'urgence, le COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Personnes à la gare, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020 pendant l'urgence du coronavirus. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto) (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/personnes-a-la-gare-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-mars-2020-pendant-l-urgence-du-coronavirus-photo-de-federico-rotter-nurphoto-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489086186.html
RM2KBKPBP–Personnes à la gare, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020 pendant l'urgence du coronavirus. (Photo de Federico Rotter/NurPhoto) (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Opérations fortes de la police à l'entrée de la gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020, pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/operations-fortes-de-la-police-a-l-entree-de-la-gare-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-mars-2020-pendant-l-urgence-du-coronavirus-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489086159.html
RM2KBKPAR–Opérations fortes de la police à l'entrée de la gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020, pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020 pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/gare-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-mars-2020-pendant-l-urgence-du-coronavirus-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489086174.html
RM2KBKPBA–Gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020 pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Opérations fortes de la police à l'entrée de la gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020, pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/operations-fortes-de-la-police-a-l-entree-de-la-gare-de-retiro-a-buenos-aires-en-argentine-sur-29-mars-2020-pendant-l-urgence-du-coronavirus-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489086185.html
RM2KBKPBN–Opérations fortes de la police à l'entrée de la gare de Retiro, à Buenos Aires, en Argentine, sur 29 mars 2020, pendant l'urgence du coronavirus. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Passengers Central train Station, 'Constitución' c'est l'une des sept gares ferroviaires centrales de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de la pandémie de l'épidémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/passengers-central-train-station-constitucion-c-est-l-une-des-sept-gares-ferroviaires-centrales-de-buenos-aires-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-la-pandemie-de-l-epidemie-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489080026.html
RM2KBKEFP–Passengers Central train Station, 'Constitución' c'est l'une des sept gares ferroviaires centrales de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de la pandémie de l'épidémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Fermeture ou fusion de supermarchés avec restrictions, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de l'épidémie pandémique du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/fermeture-ou-fusion-de-supermarches-avec-restrictions-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-l-epidemie-pandemique-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489080018.html
RM2KBKEFE–Fermeture ou fusion de supermarchés avec restrictions, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de l'épidémie pandémique du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Des places fermées et/ou vides de la ville à Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/des-places-fermees-et-ou-vides-de-la-ville-a-buenos-aires-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-la-pandemie-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079999.html
RM2KBKEER–Des places fermées et/ou vides de la ville à Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Contrôles de police à la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre plus importants terminaux ferroviaires de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de l'épidémie de la nouvelle coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/controles-de-police-a-la-gare-centrale-d-once-de-septiembre-qui-est-l-un-des-quatre-plus-importants-terminaux-ferroviaires-de-la-ville-de-buenos-aires-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-l-epidemie-de-la-nouvelle-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079943.html
RM2KBKECR–Contrôles de police à la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre plus importants terminaux ferroviaires de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de l'épidémie de la nouvelle coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Contrôles de police à la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre plus importants terminaux ferroviaires de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de l'épidémie de la nouvelle coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/controles-de-police-a-la-gare-centrale-d-once-de-septiembre-qui-est-l-un-des-quatre-plus-importants-terminaux-ferroviaires-de-la-ville-de-buenos-aires-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-l-epidemie-de-la-nouvelle-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079942.html
RM2KBKECP–Contrôles de police à la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre plus importants terminaux ferroviaires de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de l'épidémie de la nouvelle coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
De longues files d'attente pour magasiner dans les supermarchés qui restent ouverts, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de l'épidémie pandémique du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/de-longues-files-d-attente-pour-magasiner-dans-les-supermarches-qui-restent-ouverts-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-l-epidemie-pandemique-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079985.html
RM2KBKEE9–De longues files d'attente pour magasiner dans les supermarchés qui restent ouverts, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de l'épidémie pandémique du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La Maison du gouvernement et la Plaza de Mayo semblent vides, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-maison-du-gouvernement-et-la-plaza-de-mayo-semblent-vides-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-la-pandemie-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079988.html
RM2KBKEEC–La Maison du gouvernement et la Plaza de Mayo semblent vides, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Peu de passagers dans la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre terminaux ferroviaires les plus importants de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/peu-de-passagers-dans-la-gare-centrale-d-once-de-septiembre-qui-est-l-un-des-quatre-terminaux-ferroviaires-les-plus-importants-de-la-ville-de-buenos-aires-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-la-pandemie-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079936.html
RM2KBKECG–Peu de passagers dans la gare centrale d'Once de Septiembre, qui est l'un des quatre terminaux ferroviaires les plus importants de la ville de Buenos Aires, à Buenos Aires, pendant le confinement «préventif et obligatoire» de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les citoyens qui font leurs activités restreintes avec protection, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-citoyens-qui-font-leurs-activites-restreintes-avec-protection-a-buenos-aires-pendant-le-confinement-preventif-et-obligatoire-de-la-population-en-raison-de-la-pandemie-du-nouveau-coronavirus-covid-19-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489079982.html
RM2KBKEE6–Les citoyens qui font leurs activités restreintes avec protection, à Buenos Aires, pendant le confinement « préventif et obligatoire » de la population en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, COVID-19. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Sergio Massa, Cristina Fernández de Kirchner, lors de la séance d'ouverture de la période 138th du Congrès argentin sur l'01 mars 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/sergio-massa-cristina-fernandez-de-kirchner-lors-de-la-seance-d-ouverture-de-la-periode-138th-du-congres-argentin-sur-l-01-mars-2020-a-buenos-aires-en-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489053518.html
RM2KBJ8N2–Sergio Massa, Cristina Fernández de Kirchner, lors de la séance d'ouverture de la période 138th du Congrès argentin sur l'01 mars 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Alberto Fernández, Cristina Fernández de Kirchner lors de la séance d'ouverture de la période 138th du Congrès argentin sur l'01 mars 2020 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/alberto-fernandez-cristina-fernandez-de-kirchner-lors-de-la-seance-d-ouverture-de-la-periode-138th-du-congres-argentin-sur-l-01-mars-2020-a-buenos-aires-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489053498.html
RM2KBJ8MA–Alberto Fernández, Cristina Fernández de Kirchner lors de la séance d'ouverture de la période 138th du Congrès argentin sur l'01 mars 2020 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Nora Morales de Cortinas participe à une marche massive vers le rejet de la présence du FMI à Buenos Aires, en Argentine, sur 12 février 2020. Nora Morales de Cortinas, mieux connu sous le nom de Nora Cortinas et aussi appelé Norita Cortinas, est une psychologue sociale Argentine, activiste et défenseur des droits humains, co-fondatrice de mères de Plaza de Mayo et, par la suite, mères de la ligne fondatrice de Plaza de Mayo (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/nora-morales-de-cortinas-participe-a-une-marche-massive-vers-le-rejet-de-la-presence-du-fmi-a-buenos-aires-en-argentine-sur-12-fevrier-2020-nora-morales-de-cortinas-mieux-connu-sous-le-nom-de-nora-cortinas-et-aussi-appele-norita-cortinas-est-une-psychologue-sociale-argentine-activiste-et-defenseur-des-droits-humains-co-fondatrice-de-meres-de-plaza-de-mayo-et-par-la-suite-meres-de-la-ligne-fondatrice-de-plaza-de-mayo-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489024440.html
RM2KBGYJG–Nora Morales de Cortinas participe à une marche massive vers le rejet de la présence du FMI à Buenos Aires, en Argentine, sur 12 février 2020. Nora Morales de Cortinas, mieux connu sous le nom de Nora Cortinas et aussi appelé Norita Cortinas, est une psychologue sociale Argentine, activiste et défenseur des droits humains, co-fondatrice de mères de Plaza de Mayo et, par la suite, mères de la ligne fondatrice de Plaza de Mayo (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Argentine le ministre de la ducation Nicolas Trotta lors de la commémoration de la Journée internationale de commémoration des victimes de l'Holocauste, coïncidant avec le 75th anniversaire de la libération du camp de la mort nazi Auschwitz - Birkenau par l'Armée rouge en 1945, le 27 janvier 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/argentine-le-ministre-de-la-ducation-nicolas-trotta-lors-de-la-commemoration-de-la-journee-internationale-de-commemoration-des-victimes-de-l-holocauste-coincidant-avec-le-75th-anniversaire-de-la-liberation-du-camp-de-la-mort-nazi-auschwitz-birkenau-par-l-armee-rouge-en-1945-le-27-janvier-2020-a-buenos-aires-en-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488997109.html
RM2KBFMPD–Argentine le ministre de la ducation Nicolas Trotta lors de la commémoration de la Journée internationale de commémoration des victimes de l'Holocauste, coïncidant avec le 75th anniversaire de la libération du camp de la mort nazi Auschwitz - Birkenau par l'Armée rouge en 1945, le 27 janvier 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les partisans péronistes dansent pendant le festival d'accueil pendant le jour d'inauguration du président Alberto Fernandez sur la Plaza de Mayo sur 10 décembre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. Ce matin, Alberto Fernandez et Cristina Fernandez de Kirchner ont assumé les fonctions de président et de vice-président de l'Argentine pour la période 2019-2023. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-partisans-peronistes-dansent-pendant-le-festival-d-accueil-pendant-le-jour-d-inauguration-du-president-alberto-fernandez-sur-la-plaza-de-mayo-sur-10-decembre-2019-a-buenos-aires-en-argentine-ce-matin-alberto-fernandez-et-cristina-fernandez-de-kirchner-ont-assume-les-fonctions-de-president-et-de-vice-president-de-l-argentine-pour-la-periode-2019-2023-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488930661.html
RM2KBCM19–Les partisans péronistes dansent pendant le festival d'accueil pendant le jour d'inauguration du président Alberto Fernandez sur la Plaza de Mayo sur 10 décembre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. Ce matin, Alberto Fernandez et Cristina Fernandez de Kirchner ont assumé les fonctions de président et de vice-président de l'Argentine pour la période 2019-2023. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Alberto Fernandez Président de la nation Argentine, est acclamé par une foule sur le chemin de la Casa Rosada quand il arrive pour l'inauguration présidentielle au Congrès national sur 10 décembre 2019 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/alberto-fernandez-president-de-la-nation-argentine-est-acclame-par-une-foule-sur-le-chemin-de-la-casa-rosada-quand-il-arrive-pour-l-inauguration-presidentielle-au-congres-national-sur-10-decembre-2019-a-buenos-aires-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488930665.html
RM2KBCM1D–Alberto Fernandez Président de la nation Argentine, est acclamé par une foule sur le chemin de la Casa Rosada quand il arrive pour l'inauguration présidentielle au Congrès national sur 10 décembre 2019 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-se-sont-concentres-le-29-novembre-2019-dans-le-centre-de-santiago-du-chili-au-chili-ou-ils-ont-querelle-des-differences-de-performance-contre-les-abus-des-forces-de-securite-et-les-yeux-mutiles-par-les-forces-de-police-dans-les-manifestations-contre-le-gouvernement-de-sebatien-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488914784.html
RM2KBBYP8–Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-se-sont-concentres-le-29-novembre-2019-dans-le-centre-de-santiago-du-chili-au-chili-ou-ils-ont-querelle-des-differences-de-performance-contre-les-abus-des-forces-de-securite-et-les-yeux-mutiles-par-les-forces-de-police-dans-les-manifestations-contre-le-gouvernement-de-sebatien-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488914760.html
RM2KBBYNC–Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-se-sont-concentres-le-29-novembre-2019-dans-le-centre-de-santiago-du-chili-au-chili-ou-ils-ont-querelle-des-differences-de-performance-contre-les-abus-des-forces-de-securite-et-les-yeux-mutiles-par-les-forces-de-police-dans-les-manifestations-contre-le-gouvernement-de-sebatien-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488914797.html
RM2KBBYPN–Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Une voiture blindée est attaquée lors de manifestations contre le gouvernement du président Sebastian Pinera sur 29 novembre 2019 à Santiago, au Chili. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/une-voiture-blindee-est-attaquee-lors-de-manifestations-contre-le-gouvernement-du-president-sebastian-pinera-sur-29-novembre-2019-a-santiago-au-chili-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488914819.html
RM2KBBYRF–Une voiture blindée est attaquée lors de manifestations contre le gouvernement du président Sebastian Pinera sur 29 novembre 2019 à Santiago, au Chili. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants sont pulvérisés par un canon à eau de la police lors d'une manifestation anti-gouvernementale à Santiago, au Chili, au 29 novembre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-sont-pulverises-par-un-canon-a-eau-de-la-police-lors-d-une-manifestation-anti-gouvernementale-a-santiago-au-chili-au-29-novembre-2019-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488914815.html
RM2KBBYRB–Les manifestants sont pulvérisés par un canon à eau de la police lors d'une manifestation anti-gouvernementale à Santiago, au Chili, au 29 novembre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-se-sont-concentres-le-29-novembre-2019-dans-le-centre-de-santiago-du-chili-au-chili-ou-ils-ont-querelle-des-differences-de-performance-contre-les-abus-des-forces-de-securite-et-les-yeux-mutiles-par-les-forces-de-police-dans-les-manifestations-contre-le-gouvernement-de-sebatien-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488914803.html
RM2KBBYPY–Les manifestants se sont concentrés le 29 novembre 2019 dans le centre de Santiago du Chili, au Chili, où ils ont querellé des différences de performance contre les abus des forces de sécurité, et les yeux mutilés par les forces de police dans les manifestations contre le gouvernement de Sebatien Pinera (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants chiliens brûlent une figure de président lors de manifestations contre le gouvernement du président Sebastian Pinera à 29 novembre 2019 à Santiago, au Chili. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-chiliens-brulent-une-figure-de-president-lors-de-manifestations-contre-le-gouvernement-du-president-sebastian-pinera-a-29-novembre-2019-a-santiago-au-chili-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488914787.html
RM2KBBYPB–Les manifestants chiliens brûlent une figure de président lors de manifestations contre le gouvernement du président Sebastian Pinera à 29 novembre 2019 à Santiago, au Chili. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
(NOTE DE LA RÉDACTION: Cette image contient de la nudité) des militants protestent pour la cinquième semaine consécutive, à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des g verts non identifiés Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/note-de-la-redaction-cette-image-contient-de-la-nudite-des-militants-protestent-pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-le-27-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-le-feminisme-a-egalement-revendique-des-violations-des-droits-de-l-homme-la-police-les-a-violes-ils-les-ont-fait-enlever-leurs-sous-vetements-et-font-des-squats-des-elements-ont-ete-inseres-dans-leur-vagin-les-plaintes-ont-ete-resiliees-par-des-repressions-de-la-police-la-police-a-commence-a-lancer-des-gaz-lacrymogenes-des-pierres-et-des-g-verts-non-identifies-image488912062.html
RM2KBBT92–(NOTE DE LA RÉDACTION: Cette image contient de la nudité) des militants protestent pour la cinquième semaine consécutive, à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des g verts non identifiés
Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des gaz verts non identifiés qui semblent l'être Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-les-conflits-et-les-manifestations-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-le-27-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-le-feminisme-a-egalement-revendique-des-violations-des-droits-de-l-homme-la-police-les-a-violes-ils-les-ont-fait-enlever-leurs-sous-vetements-et-font-des-squats-des-elements-ont-ete-inseres-dans-leur-vagin-les-plaintes-ont-ete-resiliees-par-des-repressions-de-la-police-la-police-a-commence-a-lancer-des-gaz-lacrymogenes-des-pierres-et-des-gaz-verts-non-identifies-qui-semblent-l-etre-image488912052.html
RM2KBBT8M–Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des gaz verts non identifiés qui semblent l'être
Les manifestants affrontent la police anti-émeute lors d'une manifestation contre le gouvernement à Santiago sur 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des gaz verts non identifiés qui semblent neurotoxiques. (Photo b Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-affrontent-la-police-anti-emeute-lors-d-une-manifestation-contre-le-gouvernement-a-santiago-sur-27-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-le-feminisme-a-egalement-revendique-des-violations-des-droits-de-l-homme-la-police-les-a-violes-ils-les-ont-fait-enlever-leurs-sous-vetements-et-font-des-squats-des-elements-ont-ete-inseres-dans-leur-vagin-les-plaintes-ont-ete-resiliees-par-des-repressions-de-la-police-la-police-a-commence-a-lancer-des-gaz-lacrymogenes-des-pierres-et-des-gaz-verts-non-identifies-qui-semblent-neurotoxiques-photo-b-image488912072.html
RM2KBBT9C–Les manifestants affrontent la police anti-émeute lors d'une manifestation contre le gouvernement à Santiago sur 27 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace.le féminisme a également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin.les plaintes ont été résiliées par des répressions de la police. La police a commencé à lancer des gaz lacrymogènes, des pierres et des gaz verts non identifiés qui semblent neurotoxiques. (Photo b
Affrontements entre manifestants et police anti-émeute à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/affrontements-entre-manifestants-et-police-anti-emeute-a-santiago-du-chili-le-26-novembre-2019-pendant-plus-de-40-jours-les-conflits-et-les-manifestations-se-deroulent-toujours-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-la-protestation-est-contre-la-politique-de-leur-president-sebastian-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488912840.html
RM2KBBW8T–Affrontements entre manifestants et police anti-émeute à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestations, conflits et manifestations de Violents se poursuivent à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestations-conflits-et-manifestations-de-violents-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-le-26-novembre-2019-pendant-plus-de-40-jours-les-conflits-et-les-manifestations-se-deroulent-toujours-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-la-protestation-est-contre-la-politique-de-leur-president-sebastian-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488912856.html
RM2KBBW9C–Les manifestations, conflits et manifestations de Violents se poursuivent à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto)
La police anti-émeute a mis au feu des gaz lacrymogènes pour disperser les partisans lors d'une manifestation contre le gouvernement du président Sebastian Pinera sur la Plaza Italia sur 28 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-police-anti-emeute-a-mis-au-feu-des-gaz-lacrymogenes-pour-disperser-les-partisans-lors-d-une-manifestation-contre-le-gouvernement-du-president-sebastian-pinera-sur-la-plaza-italia-sur-28-novembre-2019-a-santiago-au-chili-pendant-plus-de-40-jours-les-conflits-et-les-manifestations-se-deroulent-toujours-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-la-protestation-est-contre-la-politique-de-leur-president-sebastian-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488912837.html
RM2KBBW8N–La police anti-émeute a mis au feu des gaz lacrymogènes pour disperser les partisans lors d'une manifestation contre le gouvernement du président Sebastian Pinera sur la Plaza Italia sur 28 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestations, conflits et manifestations de Violents se poursuivent à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestations-conflits-et-manifestations-de-violents-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-le-26-novembre-2019-pendant-plus-de-40-jours-les-conflits-et-les-manifestations-se-deroulent-toujours-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-la-protestation-est-contre-la-politique-de-leur-president-sebastian-pinera-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image488912841.html
RM2KBBW8W–Les manifestations, conflits et manifestations de Violents se poursuivent à Santiago du Chili le 26 novembre 2019. Pendant plus de 40 jours, les conflits et les manifestations se déroulent toujours à Santiago du Chili, capitale du Chili. La protestation est contre la politique de leur président Sebastian Pinera.(photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale de Chileon, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. Ils ont également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et ils font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin. Les réclamations ont été interrompues par des répressions de la police. La police a commencé à jeter des gaz lacrymogènes. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-les-conflits-et-les-manifestations-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-capitale-de-chileon-le-25-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-ils-ont-egalement-revendique-des-violations-des-droits-de-l-homme-la-police-les-a-violes-ils-les-ont-fait-enlever-leurs-sous-vetements-et-ils-font-des-squats-des-elements-ont-ete-inseres-dans-leur-vagin-les-reclamations-ont-ete-interrompues-par-des-repressions-de-la-police-la-police-a-commence-a-jeter-des-gaz-lacrymogenes-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488909876.html
RM2KBBNF0–Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale de Chileon, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. Ils ont également revendiqué des violations des droits de l'homme : la police les a violés, ils les ont fait enlever leurs sous-vêtements et ils font des squats, des éléments ont été insérés dans leur vagin. Les réclamations ont été interrompues par des répressions de la police. La police a commencé à jeter des gaz lacrymogènes. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La police antiémeute chilienne s'est heurtée à des manifestants lors d'une grève nationale sur 25 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-police-antiemeute-chilienne-s-est-heurtee-a-des-manifestants-lors-d-une-greve-nationale-sur-25-novembre-2019-a-santiago-au-chili-pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-les-conflits-et-les-manifestations-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-le-25-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488909780.html
RM2KBBNBG–La police antiémeute chilienne s'est heurtée à des manifestants lors d'une grève nationale sur 25 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La police antiémeute chilienne s'est heurtée à des manifestants lors d'une grève nationale sur 25 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-police-antiemeute-chilienne-s-est-heurtee-a-des-manifestants-lors-d-une-greve-nationale-sur-25-novembre-2019-a-santiago-au-chili-pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-les-conflits-et-les-manifestations-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-le-25-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488909781.html
RM2KBBNBH–La police antiémeute chilienne s'est heurtée à des manifestants lors d'une grève nationale sur 25 novembre 2019 à Santiago, au Chili. Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/pour-la-cinquieme-semaine-consecutive-les-conflits-et-les-manifestations-se-poursuivent-a-santiago-du-chili-capitale-du-chili-le-25-novembre-2019-la-protestation-est-contre-le-regime-de-leur-president-sebastian-pinera-les-gens-estiment-que-l-etat-ne-les-protege-pas-et-que-sa-corruption-est-inefficace-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488909761.html
RM2KBBNAW–Pour la cinquième semaine consécutive, les conflits et les manifestations se poursuivent à Santiago du Chili, capitale du Chili, le 25 novembre 2019. La protestation est contre le régime de leur président Sebastian Pinera. Les gens estiment que l'État ne les protège pas et que sa corruption est inefficace. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La Communauté bolivienne en Argentine avec des organisations sociales s'est appelée devant l'ambassade bolivienne à Buenos Aires, Argentine, le 11 novembre 2019, pour répudier la démission d'Evo Morales, qui était président de la Bolivie jusqu'à hier et des incidents en Bolivie. Ils ont considéré que c'était un renversement. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-communaute-bolivienne-en-argentine-avec-des-organisations-sociales-s-est-appelee-devant-l-ambassade-bolivienne-a-buenos-aires-argentine-le-11-novembre-2019-pour-repudier-la-demission-d-evo-morales-qui-etait-president-de-la-bolivie-jusqu-a-hier-et-des-incidents-en-bolivie-ils-ont-considere-que-c-etait-un-renversement-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488889478.html
RM2KBAREE–La Communauté bolivienne en Argentine avec des organisations sociales s'est appelée devant l'ambassade bolivienne à Buenos Aires, Argentine, le 11 novembre 2019, pour répudier la démission d'Evo Morales, qui était président de la Bolivie jusqu'à hier et des incidents en Bolivie. Ils ont considéré que c'était un renversement. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
La Communauté bolivienne en Argentine avec des organisations sociales s'est appelée devant l'ambassade bolivienne à Buenos Aires, en Argentine, le 11 novembre 2019 pour répudier la démission d'Evo Morales, qui était président de la Bolivie jusqu'à hier et des incidents en Bolivie. Ils ont considéré que c'était un renversement. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/la-communaute-bolivienne-en-argentine-avec-des-organisations-sociales-s-est-appelee-devant-l-ambassade-bolivienne-a-buenos-aires-en-argentine-le-11-novembre-2019-pour-repudier-la-demission-d-evo-morales-qui-etait-president-de-la-bolivie-jusqu-a-hier-et-des-incidents-en-bolivie-ils-ont-considere-que-c-etait-un-renversement-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488889474.html
RM2KBAREA–La Communauté bolivienne en Argentine avec des organisations sociales s'est appelée devant l'ambassade bolivienne à Buenos Aires, en Argentine, le 11 novembre 2019 pour répudier la démission d'Evo Morales, qui était président de la Bolivie jusqu'à hier et des incidents en Bolivie. Ils ont considéré que c'était un renversement. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le candidat présidentiel Alberto Fernandez de 'Frente de Todos' vote lors des élections présidentielles en Argentine à l'Universidad Catolica Argentina sur 27 octobre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-candidat-presidentiel-alberto-fernandez-de-frente-de-todos-vote-lors-des-elections-presidentielles-en-argentine-a-l-universidad-catolica-argentina-sur-27-octobre-2019-a-buenos-aires-en-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488859212.html
RM2KB9CWG–Le candidat présidentiel Alberto Fernandez de 'Frente de Todos' vote lors des élections présidentielles en Argentine à l'Universidad Catolica Argentina sur 27 octobre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les candidats à la présidence pendant le débat, Nicolas del Cano, Roberto Lavagna Président en exercice Mauricio Macri, Alberto Fernandez, Juan Jose Gomez Centurion et Jose Luis Espert lors de leur participation au débat ''Argentine debat 2019''' à Buenos Aires, en Argentine, le dimanche 20 octobre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-candidats-a-la-presidence-pendant-le-debat-nicolas-del-cano-roberto-lavagna-president-en-exercice-mauricio-macri-alberto-fernandez-juan-jose-gomez-centurion-et-jose-luis-espert-lors-de-leur-participation-au-debat-argentine-debat-2019-a-buenos-aires-en-argentine-le-dimanche-20-octobre-2019-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488846857.html
RM2KB8W49–Les candidats à la présidence pendant le débat, Nicolas del Cano, Roberto Lavagna Président en exercice Mauricio Macri, Alberto Fernandez, Juan Jose Gomez Centurion et Jose Luis Espert lors de leur participation au débat ''Argentine debat 2019''' à Buenos Aires, en Argentine, le dimanche 20 octobre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les candidats à la présidence pendant le débat, Nicolas del Cano, Roberto Lavagna Président en exercice Mauricio Macri, Alberto Fernandez, Juan Jose Gomez Centurion et Jose Luis Espert lors de leur participation au débat ''Argentine debat 2019''' à Buenos Aires, en Argentine, le dimanche 20 octobre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-candidats-a-la-presidence-pendant-le-debat-nicolas-del-cano-roberto-lavagna-president-en-exercice-mauricio-macri-alberto-fernandez-juan-jose-gomez-centurion-et-jose-luis-espert-lors-de-leur-participation-au-debat-argentine-debat-2019-a-buenos-aires-en-argentine-le-dimanche-20-octobre-2019-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488846842.html
RM2KB8W3P–Les candidats à la présidence pendant le débat, Nicolas del Cano, Roberto Lavagna Président en exercice Mauricio Macri, Alberto Fernandez, Juan Jose Gomez Centurion et Jose Luis Espert lors de leur participation au débat ''Argentine debat 2019''' à Buenos Aires, en Argentine, le dimanche 20 octobre 2019. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le "XI entrer folklorica-intégration culturelle -danses boliviennes en Argentine" a été célébré le 12 octobre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. C'est un espace d'intégration des Boliviens avec les Argentins et avec le monde. Plus de 15 000 danseurs de 140 fraternités y ont participé, qui dansaient. Il reflète la diversité et la richesse culturelle des peuples et des nations boliviens. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-xi-entrer-folklorica-integration-culturelle-danses-boliviennes-en-argentine-a-ete-celebre-le-12-octobre-2019-a-buenos-aires-en-argentine-c-est-un-espace-d-integration-des-boliviens-avec-les-argentins-et-avec-le-monde-plus-de-15-000-danseurs-de-140-fraternites-y-ont-participe-qui-dansaient-il-reflete-la-diversite-et-la-richesse-culturelle-des-peuples-et-des-nations-boliviens-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image488833201.html
RM2KB87MH–Le "XI entrer folklorica-intégration culturelle -danses boliviennes en Argentine" a été célébré le 12 octobre 2019 à Buenos Aires, en Argentine. C'est un espace d'intégration des Boliviens avec les Argentins et avec le monde. Plus de 15 000 danseurs de 140 fraternités y ont participé, qui dansaient. Il reflète la diversité et la richesse culturelle des peuples et des nations boliviens. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le président argentin de l'organisation des droits de l'homme "Abuelas de Plaza de Mayo", Estela de Carlotto, assiste au président argentin Alberto Fernandez (pas en photo) a annoncé que son ambassadeur à Pékin sera Luis Maria Kreckler sur 28 février 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-president-argentin-de-l-organisation-des-droits-de-l-homme-abuelas-de-plaza-de-mayo-estela-de-carlotto-assiste-au-president-argentin-alberto-fernandez-pas-en-photo-a-annonce-que-son-ambassadeur-a-pekin-sera-luis-maria-kreckler-sur-28-fevrier-2020-a-buenos-aires-en-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489049741.html
RM2KBJ3X5–Le président argentin de l'organisation des droits de l'homme "Abuelas de Plaza de Mayo", Estela de Carlotto, assiste au président argentin Alberto Fernandez (pas en photo) a annoncé que son ambassadeur à Pékin sera Luis Maria Kreckler sur 28 février 2020 à Buenos Aires, en Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
(G-D) Directrice des affaires culturelles du Ministère des affaires étrangères, Magdalena Faillace, Estela de Carlotto : elle est militante Argentine des droits de l'homme et présidente de l'association Abuelas de Plaza de Mayo. Le président de la commission vérité de Rio de Janeiro, Brésil, Nadine Borges et Luis Maria Kreckler (R) assistent au président argentin Alberto Fernandez (pas en photo) ont annoncé que son ambassadeur à Pékin sera Luis Maria Kreckler sur 28 février 2020 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/g-d-directrice-des-affaires-culturelles-du-ministere-des-affaires-etrangeres-magdalena-faillace-estela-de-carlotto-elle-est-militante-argentine-des-droits-de-l-homme-et-presidente-de-l-association-abuelas-de-plaza-de-mayo-le-president-de-la-commission-verite-de-rio-de-janeiro-bresil-nadine-borges-et-luis-maria-kreckler-r-assistent-au-president-argentin-alberto-fernandez-pas-en-photo-ont-annonce-que-son-ambassadeur-a-pekin-sera-luis-maria-kreckler-sur-28-fevrier-2020-a-buenos-aires-argentine-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489049743.html
RM2KBJ3X7–(G-D) Directrice des affaires culturelles du Ministère des affaires étrangères, Magdalena Faillace, Estela de Carlotto : elle est militante Argentine des droits de l'homme et présidente de l'association Abuelas de Plaza de Mayo. Le président de la commission vérité de Rio de Janeiro, Brésil, Nadine Borges et Luis Maria Kreckler (R) assistent au président argentin Alberto Fernandez (pas en photo) ont annoncé que son ambassadeur à Pékin sera Luis Maria Kreckler sur 28 février 2020 à Buenos Aires, Argentine. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-gardien-de-phare-de-l-ancien-president-carlos-menem-arrive-au-congres-national-de-buenos-aires-en-argentine-sur-14-fevrier-2021-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489471657.html
RM2KC9A2H–Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-gardien-de-phare-de-l-ancien-president-carlos-menem-arrive-au-congres-national-de-buenos-aires-en-argentine-sur-14-fevrier-2021-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489471659.html
RM2KC9A2K–Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Un agent de santé reçoit le vaccin Spoutnik V à Buenos Aires, en Argentine, en 22 janvier 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/un-agent-de-sante-recoit-le-vaccin-spoutnik-v-a-buenos-aires-en-argentine-en-22-janvier-2021-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489442608.html
RM2KC8114–Un agent de santé reçoit le vaccin Spoutnik V à Buenos Aires, en Argentine, en 22 janvier 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-gardien-de-phare-de-l-ancien-president-carlos-menem-arrive-au-congres-national-de-buenos-aires-en-argentine-sur-14-fevrier-2021-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489471652.html
RM2KC9A2C–Le gardien de phare de l'ancien président Carlos Menem arrive au Congrès national de Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Carlos Menem a été voilé au Congrès national argentin, Cristina Kirchner a reçu le cortège funéraire à Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/carlos-menem-a-ete-voile-au-congres-national-argentin-cristina-kirchner-a-recu-le-cortege-funeraire-a-buenos-aires-en-argentine-sur-14-fevrier-2021-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489471647.html
RM2KC9A27–Carlos Menem a été voilé au Congrès national argentin, Cristina Kirchner a reçu le cortège funéraire à Buenos Aires, en Argentine, sur 14 février 2021. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670724.html
RM2KCJC04–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670721.html
RM2KCJC01–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670726.html
RM2KCJC06–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Le dirigeant social argentin Juan Grabois participe au rassemblement des organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) sur 7 août 2021 depuis l'église de San Cayetano, dans le quartier de Liniers à Buenos Aires, jusqu'à la Plaza de Mayo, L'Argentine en "vue de l'ordre du jour fixé par la terre, le toit et le travail", avec un accent sur la création de" travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-dirigeant-social-argentin-juan-grabois-participe-au-rassemblement-des-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-sur-7-aout-2021-depuis-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-liniers-a-buenos-aires-jusqu-a-la-plaza-de-mayo-l-argentine-en-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-la-terre-le-toit-et-le-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670727.html
RM2KCJC07–Le dirigeant social argentin Juan Grabois participe au rassemblement des organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) sur 7 août 2021 depuis l'église de San Cayetano, dans le quartier de Liniers à Buenos Aires, jusqu'à la Plaza de Mayo, L'Argentine en "vue de l'ordre du jour fixé par la terre, le toit et le travail", avec un accent sur la création de" travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670713.html
RM2KCJBYN–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-ont-marche-sur-7-aout-2021-de-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-buenos-aires-de-liniers-a-la-plaza-de-mayo-en-argentine-dans-la-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-terre-toit-et-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670709.html
RM2KCJBYH–Les organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) ont marché sur 7 août 2021 de l'église de San Cayetano, dans le quartier de Buenos Aires de Liniers, à la Plaza de Mayo, en Argentine dans 'la "vue de l'ordre du jour fixé par terre, toit et travail '', avec un accent sur la création de '' travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Le dirigeant social argentin Juan Grabois participe au rassemblement des organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) sur 7 août 2021 depuis l'église de San Cayetano, dans le quartier de Liniers à Buenos Aires, jusqu'à la Plaza de Mayo, L'Argentine en "vue de l'ordre du jour fixé par la terre, le toit et le travail", avec un accent sur la création de" travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/le-dirigeant-social-argentin-juan-grabois-participe-au-rassemblement-des-organisations-sociales-et-politiques-qui-composent-l-union-des-travailleurs-de-l-economie-populaire-utep-sur-7-aout-2021-depuis-l-eglise-de-san-cayetano-dans-le-quartier-de-liniers-a-buenos-aires-jusqu-a-la-plaza-de-mayo-l-argentine-en-vue-de-l-ordre-du-jour-fixe-par-la-terre-le-toit-et-le-travail-avec-un-accent-sur-la-creation-de-travail-authentique-dans-tout-le-pays-photo-de-federico-rotter-nurphoto-image489670718.html
RM2KCJBYX–Le dirigeant social argentin Juan Grabois participe au rassemblement des organisations sociales et politiques qui composent l'Union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) sur 7 août 2021 depuis l'église de San Cayetano, dans le quartier de Liniers à Buenos Aires, jusqu'à la Plaza de Mayo, L'Argentine en "vue de l'ordre du jour fixé par la terre, le toit et le travail", avec un accent sur la création de" travail authentique dans tout le pays. '' (photo de Federico Rotter/NurPhoto)
Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-pro-avortement-sont-arrives-a-onze-heures-du-matin-pour-suivre-le-debat-depuis-des-ecrans-geants-dans-un-climat-d-applaudissements-de-chants-et-d-emotions-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-de-federico-rotter-nu-image489390787.html
RM2KC5JXB–Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu
Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-pro-avortement-sont-arrives-a-onze-heures-du-matin-pour-suivre-le-debat-depuis-des-ecrans-geants-dans-un-climat-d-applaudissements-de-chants-et-d-emotions-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-de-federico-rotter-nu-image489390760.html
RM2KC5JWC–Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu
Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-manifestants-pro-avortement-sont-arrives-a-onze-heures-du-matin-pour-suivre-le-debat-depuis-des-ecrans-geants-dans-un-climat-d-applaudissements-de-chants-et-d-emotions-a-buenos-aires-en-argentine-sur-10-decembre-2020-avec-une-place-divisee-entre-le-vert-et-le-bleu-il-attend-le-vote-sur-l-avortement-legal-au-congres-argentin-avec-le-soutien-du-president-des-milliers-de-personnes-contournent-les-restrictions-de-la-pandemie-pour-suivre-le-debat-legislatif-dans-la-rue-la-chambre-des-deputes-vote-deux-ans-apres-la-derniere-tentative-la-libre-interruption-de-la-grossesse-jusqu-a-la-14th-semaine-de-gestation-photo-de-federico-rotter-nu-image489390789.html
RM2KC5JXD–Les manifestants pro-avortement sont arrivés à onze heures du matin pour suivre le débat depuis des écrans géants, dans un climat d'applaudissements, de chants et d'émotions. À Buenos Aires, en Argentine, sur 10 décembre 2020. Avec une place divisée entre le vert et le bleu, il attend le vote sur l'avortement légal au Congrès argentin avec le soutien du président. Des milliers de personnes contournent les restrictions de la pandémie pour suivre le débat législatif dans la rue. La Chambre des députés vote, deux ans après la dernière tentative, la libre interruption de la grossesse jusqu'à la 14th semaine de gestation. (Photo de Federico Rotter/nu
Incidents, entre la police et les sympathisants, à l'entrée de feu Maradona à la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/incidents-entre-la-police-et-les-sympathisants-a-l-entree-de-feu-maradona-a-la-maison-du-gouvernement-a-buenos-aires-en-argentine-sur-26-novembre-2020-diego-armando-maradona-superstar-du-football-argentin-est-decede-a-l-age-de-60-ans-suite-a-un-arret-cardio-respiratoire-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489371345.html
RM2KC4P41–Incidents, entre la police et les sympathisants, à l'entrée de feu Maradona à la Maison du Gouvernement, à Buenos Aires, en Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
Cortège funéraire qui déplace les restes de Maradona à la sortie de la Maison du Gouvernement de l'Argentine, à Buenos Aires, Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto) Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/licenses-and-pricing/?v=1https://www.alamyimages.fr/cortege-funeraire-qui-deplace-les-restes-de-maradona-a-la-sortie-de-la-maison-du-gouvernement-de-l-argentine-a-buenos-aires-argentine-sur-26-novembre-2020-diego-armando-maradona-superstar-du-football-argentin-est-decede-a-l-age-de-60-ans-suite-a-un-arret-cardio-respiratoire-photo-par-federico-rotter-nurphoto-image489371361.html
RM2KC4P4H–Cortège funéraire qui déplace les restes de Maradona à la sortie de la Maison du Gouvernement de l'Argentine, à Buenos Aires, Argentine, sur 26 novembre 2020. Diego Armando Maradona, superstar du football argentin, est décédé à l'âge de 60 ans suite à un arrêt cardio-respiratoire. (Photo par Federico Rotter/NurPhoto)
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