etudiant en y ayant la main dans la poche Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/etudiant-en-y-ayant-la-main-dans-la-poche-image444365125.html
RF2GPXG71–etudiant en y ayant la main dans la poche
Victor Hugo assis à droite dans la poche Victor Hugo Cassis, principal droit dans la poche. Victor Hugo. Photo d'Auguste Vacquerie (1819-1895), d'après le dessin d'Edouard Dubufe. Epreuve sur papier salé/négatif verre au collodion. 1853-1854. Paris, Maison de Victor Hugo. Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/victor-hugo-assis-a-droite-dans-la-poche-victor-hugo-cassis-principal-droit-dans-la-poche-victor-hugo-photo-d-auguste-vacquerie-1819-1895-d-apres-le-dessin-d-edouard-dubufe-epreuve-sur-papier-sale-negatif-verre-au-collodion-1853-1854-paris-maison-de-victor-hugo-image350191743.html
RM2B9MH3Y–Victor Hugo assis à droite dans la poche Victor Hugo Cassis, principal droit dans la poche. Victor Hugo. Photo d'Auguste Vacquerie (1819-1895), d'après le dessin d'Edouard Dubufe. Epreuve sur papier salé/négatif verre au collodion. 1853-1854. Paris, Maison de Victor Hugo.
Victor Hugo assis, tourné légèrement à gauche et à droite dans la poche 'Victor Hugo Cassis, légèrement tournants la gauche, main droite dans la poche'. Photographie de Charles Hugo (1826-1871), 1853-1854. Paris, maison de Victor Hugo. Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/victor-hugo-assis-tourne-legerement-a-gauche-et-a-droite-dans-la-poche-victor-hugo-cassis-legerement-tournants-la-gauche-main-droite-dans-la-poche-photographie-de-charles-hugo-1826-1871-1853-1854-paris-maison-de-victor-hugo-image350191871.html
RM2B9MH8F–Victor Hugo assis, tourné légèrement à gauche et à droite dans la poche 'Victor Hugo Cassis, légèrement tournants la gauche, main droite dans la poche'. Photographie de Charles Hugo (1826-1871), 1853-1854. Paris, maison de Victor Hugo.
L'estappe satirique et la caricature en France au 18 e siècle; Prefde Maurice Tourneux . re remarquable dembonpoint, là un hommeassis sur une pierre qui raccommode son bas, un homme enbonnet de coton, la main dans la poche, un homme qui prend uneprise, un olicier priqui cent sa tabatière, un oricier niarcliuitposement, physionenonenonentees. MAIS la plus importante de toutes est la caricature ducuisinier de lacadémiéroyale de peinture àRome, en lli^. 11 estreprésenté locataire unecasserole. This physionomie de-vait être tre populaire àla villa Médicis, où le Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/l-estappe-satirique-et-la-caricature-en-france-au-18-e-siecle-prefde-maurice-tourneux-re-remarquable-dembonpoint-la-un-hommeassis-sur-une-pierre-qui-raccommode-son-bas-un-homme-enbonnet-de-coton-la-main-dans-la-poche-un-homme-qui-prend-uneprise-un-olicier-priqui-cent-sa-tabatiere-un-oricier-niarcliuitposement-physionenonenonentees-mais-la-plus-importante-de-toutes-est-la-caricature-ducuisinier-de-lacademieroyale-de-peinture-arome-en-lli-11-estrepresente-locataire-unecasserole-this-physionomie-de-vait-etre-tre-populaire-ala-villa-medicis-ou-le-image342942517.html
RM2AWXAK1–L'estappe satirique et la caricature en France au 18 e siècle; Prefde Maurice Tourneux . re remarquable dembonpoint, là un hommeassis sur une pierre qui raccommode son bas, un homme enbonnet de coton, la main dans la poche, un homme qui prend uneprise, un olicier priqui cent sa tabatière, un oricier niarcliuitposement, physionenonenonentees. MAIS la plus importante de toutes est la caricature ducuisinier de lacadémiéroyale de peinture àRome, en lli^. 11 estreprésenté locataire unecasserole. This physionomie de-vait être tre populaire àla villa Médicis, où le
VICTOR HUGO, LA MAIN GAUCHE DANS LA POCHE, LA MAIN DROITE TENANT SA TÊTE ET se penchant sur LE LIVRE 'Victor Hugo, la main gauche dans la poche, la principale droite tenant sa tête et acoudé à un livre'. Photographie de Nadar (1820-1910), 1878. Paris, Maison de Victor Hugo. Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/victor-hugo-la-main-gauche-dans-la-poche-la-main-droite-tenant-sa-tete-et-se-penchant-sur-le-livre-victor-hugo-la-main-gauche-dans-la-poche-la-principale-droite-tenant-sa-tete-et-acoude-a-un-livre-photographie-de-nadar-1820-1910-1878-paris-maison-de-victor-hugo-image349616868.html
RM2B8PBTM–VICTOR HUGO, LA MAIN GAUCHE DANS LA POCHE, LA MAIN DROITE TENANT SA TÊTE ET se penchant sur LE LIVRE 'Victor Hugo, la main gauche dans la poche, la principale droite tenant sa tête et acoudé à un livre'. Photographie de Nadar (1820-1910), 1878. Paris, Maison de Victor Hugo.
L'illustration : journal universel . 1 chaise, nos dès-chers dès-chers (les très chers sont le mol) se répandel de tous les vers sur la terre départementale qui les dés, mis aumonde et fuit sortir un beau jour de lurne électorale. Cestle moment où tout rentre dans le repos dans le monde ad-ministratif et politique; le prince va profiler tranquillisant sa royauté dans ses palais champêtres ; le;; Ministres flâ-nent la main dans la poche, en sécriant : Ouf! voilà qui estfini. Le centre, la gauche, la droite, le conservateur et lop-posant revivennent les meilleurs amis du monde et trinquentensemble Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/l-illustration-journal-universel-1-chaise-nos-des-chers-des-chers-les-tres-chers-sont-le-mol-se-repandel-de-tous-les-vers-sur-la-terre-departementale-qui-les-des-mis-aumonde-et-fuit-sortir-un-beau-jour-de-lurne-electorale-cestle-moment-ou-tout-rentre-dans-le-repos-dans-le-monde-ad-ministratif-et-politique-le-prince-va-profiler-tranquillisant-sa-royaute-dans-ses-palais-champetres-le-ministres-fla-nent-la-main-dans-la-poche-en-secriant-ouf-voila-qui-estfini-le-centre-la-gauche-la-droite-le-conservateur-et-lop-posant-revivennent-les-meilleurs-amis-du-monde-et-trinquentensemble-image339958934.html
RM2AN2D2E–L'illustration : journal universel . 1 chaise, nos dès-chers dès-chers (les très chers sont le mol) se répandel de tous les vers sur la terre départementale qui les dés, mis aumonde et fuit sortir un beau jour de lurne électorale. Cestle moment où tout rentre dans le repos dans le monde ad-ministratif et politique; le prince va profiler tranquillisant sa royauté dans ses palais champêtres ; le;; Ministres flâ-nent la main dans la poche, en sécriant : Ouf! voilà qui estfini. Le centre, la gauche, la droite, le conservateur et lop-posant revivennent les meilleurs amis du monde et trinquentensemble
. Les Jacobins au village ; documents publiée et annotés. Main-forte èrent à Legendre lorsquil fut chargé le 22 Bru-maire an III (12 novembre 1790) de fermer de nouveau le local des Jacobins : Legendreferma les portes et mit les clefs dans sa poche. Dans ma conclusion je nai fait allusion quà la première clôture du 10 Thermidor,estimant que cest to this quil faut placer la date de la disparition officielle de la fameuse société.- Après le 22 brumaire an III sur bafoue ces redoutables démocrates, sur les chansonnemême : " Ah ! Que nous serions satisfaits," si, toujours patriotes", au lieu de faire des d Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-jacobins-au-village-documents-publiee-et-annotes-main-forte-erent-a-legendre-lorsquil-fut-charge-le-22-bru-maire-an-iii-12-novembre-1790-de-fermer-de-nouveau-le-local-des-jacobins-legendreferma-les-portes-et-mit-les-clefs-dans-sa-poche-dans-ma-conclusion-je-nai-fait-allusion-qua-la-premiere-cloture-du-10-thermidor-estimant-que-cest-to-this-quil-faut-placer-la-date-de-la-disparition-officielle-de-la-fameuse-societe-apres-le-22-brumaire-an-iii-sur-bafoue-ces-redoutables-democrates-sur-les-chansonnememe-ah-que-nous-serions-satisfaits-si-toujours-patriotes-au-lieu-de-faire-des-d-image337123357.html
RM2AGD87W–. Les Jacobins au village ; documents publiée et annotés. Main-forte èrent à Legendre lorsquil fut chargé le 22 Bru-maire an III (12 novembre 1790) de fermer de nouveau le local des Jacobins : Legendreferma les portes et mit les clefs dans sa poche. Dans ma conclusion je nai fait allusion quà la première clôture du 10 Thermidor,estimant que cest to this quil faut placer la date de la disparition officielle de la fameuse société.- Après le 22 brumaire an III sur bafoue ces redoutables démocrates, sur les chansonnemême : " Ah ! Que nous serions satisfaits," si, toujours patriotes", au lieu de faire des d
Causeries avec mes élèves . n'absolue. La plume est légère.Sur dit : cela est léger comme une plume. Du cormoran-vousvotre livre sur votre épaule ? - Non certes, je le portedans la main, ou dans ma poche, ou sous le bras. - Onporte le fusil sur lépaule. Le fusil pèse-t-il 100 kilo-grammes ?- Oh ! Que non, il pèse beaucoup moins.-Savez-vous combien il pèse ? Vous ne répondez pas.Pourquoi levez-vous et baissez-vous les épaules ? Pourdire je ne sais pas ? Je comprends. Mais parlez. Un kilogramme fait mille grammes. Le gramme est lamillième partie du kilogramme. Deux est la moitié dequatre ; trois est le ti Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/causeries-avec-mes-eleves-n-absolue-la-plume-est-legere-sur-dit-cela-est-leger-comme-une-plume-du-cormoran-vousvotre-livre-sur-votre-epaule-non-certes-je-le-portedans-la-main-ou-dans-ma-poche-ou-sous-le-bras-onporte-le-fusil-sur-lepaule-le-fusil-pese-t-il-100-kilo-grammes-oh-que-non-il-pese-beaucoup-moins-savez-vous-combien-il-pese-vous-ne-repondez-pas-pourquoi-levez-vous-et-baissez-vous-les-epaules-pourdire-je-ne-sais-pas-je-comprends-mais-parlez-un-kilogramme-fait-mille-grammes-le-gramme-est-lamillieme-partie-du-kilogramme-deux-est-la-moitie-dequatre-trois-est-le-ti-image339086842.html
RM2AKJMMA–Causeries avec mes élèves . n'absolue. La plume est légère.Sur dit : cela est léger comme une plume. Du cormoran-vousvotre livre sur votre épaule ? - Non certes, je le portedans la main, ou dans ma poche, ou sous le bras. - Onporte le fusil sur lépaule. Le fusil pèse-t-il 100 kilo-grammes ?- Oh ! Que non, il pèse beaucoup moins.-Savez-vous combien il pèse ? Vous ne répondez pas.Pourquoi levez-vous et baissez-vous les épaules ? Pourdire je ne sais pas ? Je comprends. Mais parlez. Un kilogramme fait mille grammes. Le gramme est lamillième partie du kilogramme. Deux est la moitié dequatre ; trois est le ti
. Les bons enfants . Tu ne seras libre que lorsque tu auras payé. » LES BONS ENFANTS 171 plusieurs efforts inutiles, toujours suivis dunou deux soufflets, lui produit la nécessaire deceder. Il enfonça sa grosse main dans la poche deson gilet et en tira une bourse bien garnie. « Combien dois-je vous payer votre juon taché?demanda-t-il dun ton bourru. — vous me donner quinze francs. Je lai payécela moi-même. —CEST affreux,ça ! Quinze francs !je ne peux pas » il nacheva pas ;une rude secoussevint lui rappelersa promesse. (( Tenez, voiles quinze francs.vous êtes des vo-eurs ; je vous dé-no Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/les-bons-enfants-tu-ne-seras-libre-que-lorsque-tu-auras-paye-les-bons-enfants-171-plusieurs-efforts-inutiles-toujours-suivis-dunou-deux-soufflets-lui-produit-la-necessaire-deceder-il-enfonca-sa-grosse-main-dans-la-poche-deson-gilet-et-en-tira-une-bourse-bien-garnie-combien-dois-je-vous-payer-votre-juon-tache-demanda-t-il-dun-ton-bourru-vous-me-donner-quinze-francs-je-lai-payecela-moi-meme-cest-affreux-ca-quinze-francs-je-ne-peux-pas-il-nacheva-pas-une-rude-secoussevint-lui-rappelersa-promesse-tenez-voiles-quinze-francs-vous-etes-des-vo-eurs-je-vous-de-no-image374826620.html
RM2CNPR50–. Les bons enfants . Tu ne seras libre que lorsque tu auras payé. » LES BONS ENFANTS 171 plusieurs efforts inutiles, toujours suivis dunou deux soufflets, lui produit la nécessaire deceder. Il enfonça sa grosse main dans la poche deson gilet et en tira une bourse bien garnie. « Combien dois-je vous payer votre juon taché?demanda-t-il dun ton bourru. — vous me donner quinze francs. Je lai payécela moi-même. —CEST affreux,ça ! Quinze francs !je ne peux pas » il nacheva pas ;une rude secoussevint lui rappelersa promesse. (( Tenez, voiles quinze francs.vous êtes des vo-eurs ; je vous dé-no