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. Les Français peints par eux-mêmes . a imlisiiosie cnntie lui eu la Irnuiiiantadioiteineut. r|uillosubito la |iailie, et (luclipies jours .ipres ou peut voir, à in |da(:i! mhuv. ijuil occuiiail oïdinnirenient sur le mo-dcsle divan de calicot jaune, un vonire Ires-] rOLniiuenl.surmonté dunc esiiocc de figure humaine mal dessinée, . tl liiiissnnt par deux petites jambes Irés-coiirtcs. Cestuu lianquierl — Les créanciers sont payés, le mobilier LA MWE DACTRICE. est renouvelé, le wicheniire de lInde reiiiidacc le ler-iiaiix, et la Saint-Rolicrt trinniphel 11 faut que je maiTcle un instant pour bien fixer monpoint de départ. — En cet endroit du récit, une confusioninévitable sétablit entre deux grandes variétés de les-pèce des mères dactrice : — la mère vêrilable, la mèrepur sang, Is mère mère, si je puis mexprimer ainsi, —^ et ia mère dcmprnnt. Je vais vous dire ce que cest que la mère demprunt.— Il y a sur le pavé de Paris une race de vieilles fem-mes, au nez bourgeonné et au menton en galoche, quiforment une légion passablement nombreuse. Elles nontni famille ni entourage. On ne leur coiiunil pas danté-cédents; personne ne se souvient de les avoir vues jeu-nes, et je crois, Dieu me )iardonne, quun beau jour ellessont tomiiées du ciel, toutes ca^sées et toutes ridées, comme une p

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