Claude Monet. Nénuphars. 1906. La France. Huile sur toile "Un instant, un aspect de la nature contient tout cela," a déclaré Claude Monet, se référant à sa fin, les paysages de l'eau des chefs-d'œuvre qu'il produit à son domicile à Giverny entre 1897 et sa mort en 1926. Ces œuvres remplacé les divers sujets contemporains il avait peint des années 1870 à travers les années 1890 avec un seul motif intemporel, nénuphars. Le point focal de ces peintures est l'artiste du bien-aimé ?ower garden, qui a comporté un jardin d'eau et un plus petit étang enjambé par un pont japonais. Dans sa première série d'eau-lily (1897

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Claude Monet. Water Lilies. 1906. France. Oil on canvas “One instant, one aspect of nature contains it all, ” said Claude Monet, referring to his late masterpieces, the water landscapes that he produced at his home in Giverny between 1897 and his death in 1926. These works replaced the varied contemporary subjects he had painted from the 1870s through the 1890s with a single, timeless motif—water lilies. The focal point of these paintings was the artist’s beloved ?ower garden, which featured a water garden and a smaller pond spanned by a Japanese footbridge. In his first water-lily series (1897–99), Monet painted the pond environment, with its plants, bridge, and trees neatly divided by a fixed horizon. Over time, the artist became less and less concerned with conventional pictorial space. By the time he painted Water Lilies, which comes from his third group of these works, he had dispensed with the horizon line altogether. In this spatially ambiguous canvas, the artist looked down, focusing solely on the surface of the pond, with its cluster of vegetation ?oating amid the re?ection of sky and trees. Monet thus created the image of a horizontal surface on a vertical one.