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. Les types de Paris. qui oscillcnl eiilii- la combe bourbonicnue et la cdurix S(miti(|U( Les lèvres, tiop courtes, laissent voir entre les dents gâtées des trousnoirs. I.e teint sCst (clairei dans la gaumud(s jaunes, relevt aux pommettesde (piehpies liaelun<S de laque vive. Sans être obèse, il est nuiiuteuaut ilouéd un eml)()n|)oiut coulortable it régulier (pii rendioniic de graisse les exos-toses canailles de son ossature. IJ il maiilie le buste légèrement iieuché enavant, I (?chine santillaiitr, les coudes écarti-s qui font des mouvements de 22 8iJ LES TYIICS I»i: lMllS. hicllc. I)c(l;ii;;ii(ii de siiivri- la iiiiMir, |aluu |iliiliil de I iiiiposcr, il est (liiliclicMMiil cl laiilaisisiciiiriil. Il a il<s lcdinyotes bleuos, à icvcrs de moireanli(|iic, uitra-fulhiutcs, Irop neuves; des paiilaNuis de coni)! aiijjlaisc, lr(i|)elaiis; des eiavates tro|i hiaiielies, des bijoux lid|) ;;ios, des niouehoirs tropparluuus, des bottes trop veiuies, des chapeaux Irop luisaiils. Olillcselia-. peaux de Williaui, les clia|)iaiix couleur dCau proloude, ou les ciels, lesarbriS, les iiies, les llcuNcs, les loiiles, ou loule la ualure cl loulc I lumiaiiitése relletent cl jjrouilleul ! Coiubieu loujjleinps les jeunes jjouiincux eiivièr<ut-ils à William liiisolile, I iuaccessibb cclat de ses couvre-cliel ! Aucun ler, aucune biillanline, aucun lioltenient de la soie ou tlu velours ue parvenait àétendre snr les leurs cette puissante lumière, cette incandescence mysté-rieuse, (jui le coiffait, lui, d un bloc de soleil, aux mille rayons divergents.Pourtant son secret était simple. Il le confia au jeune nuirquis de]M..., iui COCMEU Di: MAITIii:. ST jour qu ils s utaiciU rencontres, aux courses il Auleiiil, près d un ImokmaUei. — Voyous, William, supplia le marquis, comment ohtenez-vous vos cha-peaux? — Mes chapeaux? répondit William, d un air ilatté... (.est bleu facile...Tous les matiusjeiais coni-ir mou valet de chami)ripeudaiil lui (juarl d heure.

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