Western field. rt The Golden Gate. La ville de Regal se trouve en altitude, Les eaux à ses pieds, Et sur sa tête, comme la couronne des étoiles, la rue éclairée Twines sur la rue. NUIT À SAN FRANCISCO. (Un Fragment.) Mais maintenant elle nods pendant la nuit se poursuit, Et attire sur son visage Le brouillard dérivant, le brouillard gris doux, Comme des plis malins de dentelle; Et à travers les plis les lumières brillent sombre. Comme les étoiles dans la moitié d'eclipse.Alors que dehors en mer les sirènes moan. Avertir les navires qui passent. Les lucioles avec leurs lanternes.Are éclairent les papillons nocturnes homeFroment leurs révéleurs avec les fleurs.Dans la hâte est l'aube viendra. LUCIOLES. (Après

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Western field . rt the Golden Gate. THE Regal City sits aloft, The waters at her feet, And on her head, like crown of stars, Twines lighted street on street. NIGHT IN SAN FRANCISCO. (A Fragment.) But now she nods as night goes on, And draws about her face The drifting fog, the soft gray fog, Like misty folds of lace; And through the folds the lights shine dim. Like stars in half eclipse.While out at sea the sirens moan. To warn the passing ships. THE fireflies with their lanterns.Are lighting the night-moths homeFrom their revels with the flowers.In haste lest the dawn shall come. FIREFLIES. (After the Japanese.) But—tricksey little linkmen—They are straying from the pain. And hiding in the shadows To laugh at the night-moths wrath. They draw about their lanternsThe spiders gossamer threads, Leaving the moths to scrambleAs best they may to their beds. Oh, foolish little flreflies! There will come to-morrow s sun.When the night-moths are in hiding And of patrons youll have none. lyLOiyx^ l/cCv^yv Cbtn.. CHANCE CQUAINTANCC 0 cuckoo! shall I call thee birdOr hut a loandering voice. —Wordsworth.

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