Les quatre hommes, farrago . La trente et unième OFOCTOBER 1902. La 31e D'OCTOBRE 1902 je me réveille le matin suivant pour le bruit, les plaidoyers-ant, bruit d'eau qui bout dans une bouilloire. MayGod bless que bruit et accorder à d'être sacré plus de bruit dans le monde. C'est la bruit que pour entendre les bébés à la naissance et thatold les hommes entendre comme ils meurent dans leurs lits, et il est le bruit de nos ménages tous les ourlong vit longtemps ; et dans le monde entier, partout où les hommes ont des foyers, que le ronronnement et le chant, et que bourdonnement et que 7172 la bouilloire chante pour parler de lui-même complice chaud notre excellent waterto

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The four men; a farrago . THE THIRTY-FIRST OFOCTOBER 1902. THE THIRTY-FIRST OF OCTOBER 1902 I WOKE next morning to the noise, the pleas-ant noise, of water boiling in a kettle. MayGod bless that noise and grant it to be themost sacred noise in the world. For it isthe noise that babes hear at birth and thatold men hear as they die in their beds, andit is the noise of our households all ourlong lives long; and throughout the world, wherever men have hearths, that purring andthat singing, and that humming and that 71 72 THE KETTLE SINGS talking to itself of warm companionable waterto our great ally, the fire, is home. So thought I, half awake, and half asleepupon the hard dry earth of that floor. Yet, as I woke, my mind, not yet in Sussex, thought I was sleeping in an open field, andthat there were round me comrades of theregiment, and that the embers that warmedmy feet were a bivouac fire. Then I sat up, broad awake, and stiff after such a lodging, to find the Sailor crouching over the renewedflames of two stout logs on which hehad established a ket

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